
Parfois jugé comme « amusant », comme une « blague qui n’a rien de méchant » le sexisme est souvent une « habitude anodine », et pourtant… c’est le premier poison qui nourrit les inégalités et ouvre la voie aux violences dans la vie réelle comme sur le cyberespace…
9 femmes sur 10 ont déjà subi une situation sexiste. Une femme sur deux, âgée de 25 à 34 ans, a vécu une atteinte à son consentement. Et sur Internet, le cybersexisme explose : harcèlement, menaces et campagnes de haine ciblent massivement les femmes, réduisant au silence celles qui osent s’exprimer.
Le sexisme, qu’il se manifeste dans la sphère privée, l’espace public ou virtuel, normalise le masculinisme et alimente un continuum de violences. Mais ces violences ne sont pas une fatalité.
Au continuum des violences sexuelles et sexistes, engendré par les préjugés sexistes, il faut opposer une culture et un continuum de l’égalité en créant dès le plus jeune âge un environnement où le respect et l’égalité de genre sont la norme. Avec son étude sur le cybersexisme et sa malle pédagogique, le Centre Hubertine Auclert vous donne les outils pour agir !
En ce 25 janvier, Journée nationale contre le Sexisme, engageons-nous à dénoncer le sexisme sous toutes ses formes, à déconstruire les stéréotypes, sensibiliser dès le plus jeune âge et soutenir les victimes. Faisons du sexisme une relique du passé !
Ensemble, le combat continue !