L’affaire Benjamin Griveaux a au moins eu le mérite de mettre en lumière une pratique plus répandue qu’on ne l’imagine : celle de l’envoi de nudes, et, par extension, celle du « revenge porn. »
Et ce notamment chez les mineur·e·s, collégien·ne·s et lycéen·ne·s, pour qui ces photos sont monnaie courante. Tout comme leur mauvaise utilisation, et le harcèlement qui en découle.
Témoignages recueillis par Pauline Verge et Marilou Therre, étudiantes à l’École de Journalisme de Sciences Po. Une version enquête de leur enquête est à retrouver dans le journal Le Monde.