En avant toute(s) lutte pour l’égalité des genres* et la fin des violences faites aux femmes et aux personnes LGBTQIA+*. Elle s’adresse spécifiquement aux jeunes, sans distinction de classe sociale, de genre, d’orientation sexuelle, de culture ou de croyance. L’association agit à travers deux axes complémentaires : la prévention des comportements sexistes, et l’accompagnement des jeunes femmes et des personnes LGBTQIA+ victimes de violences au sein du couple ou de la famille, à travers le premier tchat de France dédié à ces questions.
En avant toute(s) lutte pour l’égalité des genres* et la fin des violences faites aux femmes et aux personnes LGBTQIA+*. Elle s’adresse spécifiquement aux jeunes, sans distinction de classe sociale, de genre, d’orientation sexuelle, de culture ou de croyance. L’association agit à travers deux axes complémentaires : la prévention des comportements sexistes, et l’accompagnement des jeunes femmes et des personnes LGBTQIA+ victimes de violences au sein du couple ou de la famille, à travers le premier tchat de France dédié à ces questions.
“La démarche d’En avant toute(s) est en premier lieu de s’adresser à un public jeune, craintif face aux institutions, souffrant d’un manque de repérage de la part des adultes encadrants, un public “hors radar”, pour reprendre les mots du Centre Hubertine Auclert. Quand nous avons commencé à travailler sur le projet du tchat, et lorsque nous avons vu que nous parvenions à atteindre ce public, nous avons compris que nous tenions entre nos mains des données d’une inestimable importance : les réalités d’un public qui s’adresse encore difficilement aux structures qui ne lui sont pas dédiées, et leur préfère internet. Un public aux spécificités encore peu connues et mal comprises, qui met en lumière des réalités et besoins sociaux partagés par l’ensemble des victimes. Il nous a semblé primordial de porter une attention particulière à ces données inédites, et de les soumettre à une analyse rigoureuse afin d’en tirer des enseignements qui, nous l’espérons, aideront à améliorer la prise en charge des personnes victimes de violences.”
Margaux Nasreddine, présidente d’En avant toute(s)