Dans ce dernier volume, Le genre à l’œuvre, les auteur-e-s examinent les manières dont le genre éclaire, en tant que catégorie d'analyse, les œuvres d'art produites dans les mondes de la danse, du cinéma, du roman, de la composition musicale et de la photographie.
Ce deuxième volume, Le genre à l'oeuvre, questionne la manière dont se construisent les oeuvres et les artistes sous l'angle du genre.
Du XVe au XVIIe siècle, l'Europe chrétienne (catholique comme protestante) fut prise d'une brusque frénésie contre la sorcellerie. Des dizaines de milliers de personnes, accusées à tort ou à raison de pratiques démoniaques, furent torturées avant de se retrouver dans les flammes des bûchers.
Ces trois volumes, Le genre à l’œuvre, explorent les rapports genrés traversant la production, la réception et la médiation artistique d'une œuvre d'art.
Ce livre analyse les discours « masculinistes », tels qu’ils s’affirment par exemple dans certaines organisations de pères divorcés.
Concept mobilisé depuis de nombreuses années dans la plupart des sciences humaines et sociales, le genre n'a guère suscité l'intérêt des juristes français.
A l'initiative de l'Institut Emilie du Châtelet et sous la direction de Laurie Laufer et Florence Rochefort, des spécialistes des domaines de l'éducation, du travail, de la sexualité, de la psychanalyse, du sport, de l'économie, de la linguistique, de la neurobiologie, de la religion et de la cul
