Description complète
L’étude démontre l’importance d’une analyse genrée sur le continuum des victimations sexistes, sexuelles et LGBTphobes, démontrant que les élèves LGBT ainsi que les filles, en particulier les filles LBT, sont les principales victimes des (cyber)violences.
L’étude cofinancée par le Ministère de l’éducation nationale et la Région Ile-de-France, a été réalisée en partenariat avec les rectorats des académies de Créteil, Paris et Versailles, sous la direction scientifique de Margot Déage et avec l’agence de sociologie n-clique.
L’étude porte des préconisations concrètes d’actions à destination du Ministère de l’éducation nationale, des rectorats et des établissements scolaires. La publication de l’étude s’accompagne de lancement d’une campagne de prévention d’envergure « Gênant ? Surtout violent ! » diffusée dans tous les lycées franciliens.