Ressources contre les violences faites aux femmes 2024 : pour agir toute l'année
Chaque début d'année, l'Observatoire régional des violences faites aux femmes du Centre Hubertine Auclert prop
Chaque début d'année, l'Observatoire régional des violences faites aux femmes du Centre Hubertine Auclert prop
L’association LIBRES TERRES DES FEMMES (LTDF) recherche une directrice. Créée en 2006, LTDF, membre de la Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF), accueille et accompagne des femmes victimes de violences conjugales
Un jeu de cartes dans lequel une pompière vaut autant qu’un pompier, une avocate autant qu’un avocat et une présidente autant qu’un président, et dans lequel on doit à tout prix se débarrasser de la carte “sexisme” !
« Je lis plein de choses et je les regroupe par thèmes. Au bout d'un moment, j'ai le sentiment qu'un des thèmes mérite d'être porté au public. Je résume et ancre ce thème un peu théorique dans nos vies privées : ces expériences personnelles qui permettent de toucher chaque femme.
Où l’on retrouve les femmes de la famille Bocoum, que l'on peut suivre déjà dans le premier roman écrit par les auteures Pauline Penot et Sabine Panet, Le cœur n'est pas un genou que l'on peut plier.
Pourquoi agir en classe sur les inégalités et les violences de genre ? Les inégalités entre les femmes et les hommes subsistent, et les recherches en sciences de l’éducation nous indiquent que les pratiques enseignantes et éducatives ne sont pas neutres du point de vue du genre.
Les violences sexistes et sexuelles se déploient aussi dans le cyberespace. Le Centre Hubertine Auclert a ainsi développé une expertise et publié des études sur le cybersexisme, notamment chez les jeunes.
L’école représente un lieu (re)production des normes sociales, y compris liées au genre.
Malgré la croyance largement partagée aujourd’hui qu’il n’existe pas de métier de femme ou d’homme, les choix d’orientation des élèves sont encore très marqués, et certaines filières restent très peu mixtes.
Les inégalités et violences de genre touchent les élèves qui ne correspondent pas à ce qui est attendu d’une « vraie fille » ou d’un « vrai garçon ».